De la collapsologie au résilencialisme.
Nous vivons une période de turbulence, de secousses, prémisse du grand bouleversement qui viens. Il n’est pas question ici de revenir sur la nature ou la temporalité de l’effondrement, mais de son double, encore tapis dans l’ombre, le résiliencialisme ou la résiliençoliogie
Il me semble qu’il nous faut, pour nous préparer à ce qui vient, étudier et rassembler les éléments qui nous permette, depuis l’aube des temps à nous construire et a nous développer.
Quel sont donc les besoins d’une société ?
Il y a bien les besoins vitaux, manger, boire, êtres abriter, ce vêtir… Il y a aussi les besoins secondaire, transmettre, apprendre, ce divertir. Mais une société a besoin d’individus qui puisse ce déplacer, communiquer à distance, stoker, conserver. Il nous faut aussi repencer la gouvernance, l’éducation, la relation au monde, jusque sans doute notre relation à nous même.
Réalité : ensemble de croyance qui nous permet de comprendre et d’accepter ce qui nous entour ?
Nous avons tant a faire pour nous construire nous même le monde que nous voulons.
Vive la résilience.
Pour chacun des besoins fondamentaux, il va nous falloir partager nos connaissance, nos expériences et organiser notre temps pour que le monde d’après ne soit pas une succession de crises décrétées ou l’on attend désespérément de l’aide de l’état comme dans un mauvais film américain, mais ou chaque évènement doit devenir une occasion de connaître et nourrir de nouvelles formes de liens à ceux et ce qui nous entour.
Le monde d’avant (le covid-19) est mort, seul nos dirigeants sont accès aveuglés pour ce croire dans un jeu vidéo ou leme joueur oue encore.
Il s’agit bien donc de mettre en place depuis le premier des noveau de socialité, d’êtres, puis la famille, qu’elle soit biologique ou non puis le village ou le quartier et ainsi de suite !
C’est l’occasion pour tous de questionner et réinventer tous ce qui fait notre réalité et nos mythe. Notre ontologie toute entière.
un pas à la fois, à la foie ? ensemble?